Caroline et son premier Trio,

Suite à notre soirée avec Michel, mais surtout grâce aux aveux de regrets de n’avoir pas accepté un supplément à nos caresses, je n’ai pas été surpris que Caro accepte un autre rendez-vous au bord de la Garonne pour une seconde soirée avec Michel tout en sachant que la "limite" serait repoussée et acceptée. Déjà, dès l’installation de la tente (une cabanon 3 places) Caro était seins nus malgré les quelques baigneurs qui la lorgnaient sans tenir compte des remarques de désapprobation de leurs épouses. Michel est arrivé et nous l’avons aidé à installer sa tente même si elle ne nous serait pas spécialement utile ce soir. De temps en temps Michel prenait n’importe quelle excuse pour entrer dans notre tente en même temps que Caro. Lorsqu’ils ressortaient je pouvais constater très nettement qu’il prenait à chaque fois un peu d’avance sur les caresses et que Caro n’essayait même pas de donner le temps à ses tétons de se calmer. D’ailleurs, même Michel avait été obligé de camoufler ses érections sous son pagne éponge. Petit à petit les "voisins" sont partis nous laissant l’emplacement libre. Il y a même une baigneuse qui à son départ, est venu nous souhaiter une très bonne soirée, le sourire complice aux lèvres. Toute aussi complice, Caro lui a réponde que tout avait été prévu pour. Enfin seuls, Caro s’est empressée de sortir sa culotte. Nous avons préparé un petit feu de bois entouré de galets, un grill pour griller trois côtelettes. A peine assis sur nos serviettes, nous avons éclatés de rire en constatant que deux messieurs étaient en totale érection en face d’une jolie femme nue, laissant le sexe bien ouvert tout en gardant les jambes croisées avec les cuisses écartées. En plus sa poitrine bien accrochée exhibait des tétons en érection. C’est Caro qui a proposé de prendre un apéritif sexuel pour calmer nos appétits. Michel et moi nous sommes levés et nous sommes posés devant Caro qui s’est agenouillée, et qui regardait nos deux queues bien raides à sa portée. Elle les a prise à pleine main et tout en les caressant posait quelques bises sur les glands. Elle nous a regardé toute sourire et a lâché un :
« -Et ben dites donc, je sens que je vais avoir du boulot ce soir, bon sang quel beau tableau ! »
Et ouvrant la bouche, elle laissa la queue de Michel aller visiter le fond de sa gorge. Il s’enfonçait, il n’arrêtait pas de s’enfoncer en même temps qu’elle le serrait par les fesses, et elle a commencé sa "royale" comme elle savait si bien les faire. Elle a desserré son étreinte, reculé la tête laissant apparaître une queue luisante pour la refaire plonger, reculer, replonger de plus en plus rapidement. C’est moi qui lui ai demandé de nous laisser toutes nos forces pour ce soir. Alors elle à ralenti et a changé d’instrument. Elle m’a fait la même chose après m’avoir dit :
« -vous vous reposerez au repas mes salops, il ne fallait pas m’encourager, maintenant je veux l’apéritif et vous allez me le donner, même que j’en prendrais deux, j’en ai trop envie »
ET ELLE LES A AVALES ET MÊME COPIEUSEMENT.
L’apéritif terminé, elle est allée nettoyer les éclaboussures sur ses nichons et nous a rejoint toute fierôte de son premier exploit.
« -Alors ça vous a plu mes chéris, ça vous a mis en appétit j’espère. Surtout que pour moi, ça m’a mise en super forme. Vous avez intérêt à être en forme. Pour une fois ou je vais avoir deux beaux mâles à moi toute seule...
n’ai aucune crainte, on va t’en donner, redonner, reredonner toute la nuit. De toute façon, nous, on se reposera entre deux coups. Et tu n’est certainement pas gaulée avec des nichons et un cul pareil pour décourager quoi que ce soit ni qui que ce soit. Et j’ai prévu assez de lub pour plusieurs fois.
D’accord mais pour le petit fripé, faîtes attention tout de même, il n’est pas encore très habitué aux séries. Il va vous falloir faire très attention. C’est vrai que j’aime ça, mais à répétition... c’est à voir. Mais autant que je vous connaisse, vous n’êtes pas des sauvages. Il faudra ménager mon petit cul de jeune fille fragile.
Ne t’en fait pas, pour ce qui est de te ménager on va te ménager mais on a l’intention de toute façon, d’aménager pour une cohabitation.
J’ai hâte !
Et nous donc !
Nous avons fait griller nos côtelettes et nous avons mangé avec appétit. C’était un régal de voir Caro s’asseoir les jambes croisées, sa foufoune s’ouvrir comme pour attirer toute notre attention et nous dire : ce soir vois allez pouvoir me visiter profondément en même temps que l’entrée arrière. Voyez comme je suis accueillante, ouverte et toute humide. A chaque fois qu’elle se levait pour retourner le grill ou ravitailler le feu, elle faisait exprè de nous présenter ses fesses a notre convoitise et nous ne nous privions pas. Nous avons mangé nos côtelettes sans trop perdre de temps et le temps des réjouissances est enfin arrivé. C’est Caro qui nous a invité pour un démarrage au clair de lune. Allongée sur l’herbe, les jambes écartées tournées vers nous, sans aucune pudeur, elle nous provoqua avec un :
« -Alors à qui le premier ? Préservatifs s’il vous plait ! Et mettez-y tout votre cœur. Pour ce premier tour il faudrait me défoncer. Je suis votre putain, alors profitez-en. Ça me calmera pour le second tour, deux recto verso calmes, avec précautions mais super pénétrants et jouissifs. Je tiens à effrayer tous les lièvres des environs avec de magnifiques jouissances.
J’invitais Michel à inaugurer la soirée et il ne s’est pas fait prier. Depuis le temps qu’il nous faisait comprendre qu’il désirait fortement Caro, et ce soir, ça y était ses désirs devenaient réalité. Il s’est levé, il a prit Caro par la main et l’a faites allonger sur son matelas pneumatique. Il s’est allongé à ses côtés et s’est d’abord attaqué à ses nichons sachant qu’elle y était sensible. Il l’a tétée longuement puis après deux ou trois mordillement coquins il l’a embrassée très amoureusement. Oui, c’était sûr il était très amoureux de Caro. Elle a répondu tout aussi amoureusement à ce baiser. Puis lentement elle a entamé une descente tout en le couvrant de petits baisers. Elle est arrivée tout naturellement au barreau de chaise en totale érection. Relevant la tête, sourire aux lèvres elle lui a lancé un :
« -Ce soir, aucune restriction, fait de moi ce que tu veux je me donne entièrement à tes envies et je constate que tout est au plus haut de tes désirs alors n’hésites pas. Tout à l’heure tu as pris quelques avances et maintenant il te faut concrétiser.
Elle ne lui a pas laissé le temps de réagit, elle a englouti la queue bien raide et la faîte entrer tout au fond de sa gorge. En lui caressant calmement les couilles elle a commencé les va et vient en cadence très lente. Michel m’a regardé, l’air étonné, et pourtant ce n’était pas la première pipe que Caro lui faisait depuis quinze jours. Rapide réflexion me donnait un total de huit en deux soirs. Mais cette fois ci, elle l’a lui faisait non seulement en tant que future amante mais visiblement elle s’y appliquait pour lui donner le maximum de plaisir avec son maximum de savoir. Il est vrai que depuis l’âge de 14 ans ou elle accordait cette faveur aux copains de collège et perfectionnée par son 1er initiateur de 23 ans, elle avait "du métier".
De temps en temps, Michel fermait les yeux en gémissant. Je connaissait trop bien les sensations qu’il devait ressentir avec la queue dans cet antre de plaisir. En plus, j’ai toujours été très sensible à cette magnifique vision d’un queue entrant et sortant de la bouche de mon épouse. Et ce soir, c’était avec Michel, mon copain. Mais Michel s’est retiré en bafouillant un :
« -Merci mais laisse moi des forces, j’ai tellement envie de te prendre et je voudrais que ça dure, de t’entendre faire peur aux lièvres, de t’entendre jouir pour cette première fois, de cette 1ère avec moi, moi dans toi. Depuis le temps que j’en rêve. Si tu savais combien de fois je me suis masturbé en rêvant de tes seins, de ton ventre, et même de ton cul.
-C’est Frantz que tu dois remercier, c’est lui qui m’a demandé de me laisser caresser la semaine dernière, et c’est toujours lui qui m’a demandé de baiser avec toi aujourd’hui. Alors c’est un peu grâce à lui même si la semaine dernière ça été pour moi, une révélation, j’ai beaucoup aimer te sucer et lorsqu’il m’a demandé pour aujourd’hui, d’aller plus loin, j’ai tout de suite accepté. Avec les autres je n’aurais même pas commencé, mais avec toi, demande à Frantz, j’ai tout de suite été d’accord. Bon, assez discuté, tu dis rêver de me baiser, je suis d’accord alors GO. »
A ce moment c’est Caro qui s’est allongée sur Michel et qui s’est baisée elle même. Tout étonné, Michel l’a laissée mettre sa queue devant foufoune. Elle l’a regardé et l’a embrassé après lui avoir simplement dis :
« -Allez, vas-y, prends moi »
Mais s’est encore elle qui s’est assise sur le pieu en porte drapeau. Je l’ai vu disparaître d’un seul coup. En fait c’était Caro qui baisait Michel qui la tenait par les hanches et qui regardait ses nichons se balancer. Il a levé la tête et a prit un sein qui lui tendait le téton. Il lui caressait les hanches puis les fesses, les seins, il ne savait plus ou caresser alors qu’elle avait prit sa bouche pour un long baiser amoureux. Et il était vraiment amoureux. Ils échangeaient abondamment leur salive. Caro a alors rythmé les va et vient aidé de Michel qui la faisait ré-asseoir pour rester au fond de cette chatte qu’il avait tant rêvé et espéré.
Comme Caro ramenait ses cuisses le long du torse de son amant, j’ai eu une vue imprenable sur le fessier de mon épouse, sur le petit fripé qui s’ouvrait et se fermait au fil des va et vient. C’est alors Michel qui comprenant mes regards, a écarté les fesses et qui me regardait sourire aux lèvres comme pour une invitation. C’était à moi de rajouter un élément nouveau. Tout à coup, même Caro qui avait deviné les possibilités que sa position nous donnait, a tourné la tête vers moi et m’a simplement dit :
« -vas-y mais fais doucement et mets beaucoup de lub, même à l’intérieur. Tu sais que c’est ma première en double alors calme, doucement. »
J’ai mis beaucoup de lubrifiant et avec un doigt, puis deux j’ai fait entrer le surplus dans ses entrailles. Michel ainsi que Caro avaient arrêtés tous mouvement pour me laisser préparer mon débarquement.
Nous avions déjà pratiqués la DP avec Caro. Mais c’était avec un vibromasseur. Beaucoup plus fin que la queue de Michel. J’ai enjambé les jambes de mon copain (de mon Ami maintenant) et après mettre mis à genoux, je me suis placé bien en face du "trou de balle" et lentement j’en ai forcé l’entrée sans appuyé trop fort. Je me retenais pour appuyer d’un coup et je pouvais comprendre le blocage de respiration de Caro à ce premier assaut. Elle a relâché sa respiration en même temps qu’un gémissement d’alerte. Je lui ai demandé si cela allait. Elle me répondait en murmurant que oui et que je pouvais continuer mais doucement, que ça faisait mal mais pas autant que prévu. Alors j’ai repris la progression. Son murmure de progresser était moins fort mais ses gémissements qui s’atténuaient m’encourageaient. C’est elle qui à un moment donné m’a surprise alors que j’étais à moitié pénétration, elle a donné un coup de rein pour me faire rentrer tout en me disant :
« -c’est bon, vas-y, oh mon dieu que c’est bon. Pourquoi avoir attendu si longtemps. Toi aussi Michel continus, remues, baises moi, allez-y. Je vous ai dit que j’étais votre pute, alors allez-y, c’est trop bon, défoncez moi. Oh bon sang que c’est bon, allez-y, un entre l’autre sort. Ça fait un peu mal mais ça me plaît. Et dire que je pensais qu’il fallait être une salope pour accepter ça. Eh bien c’est bon d’être une salope, tu aimes ça toi aussi mon chéri, mes chéris, mes salops. Oh bon sang que c’est bon. Je vous sens tellement bien tous les deux, devant derrière, je vous sens bien.
C’est Michel qui a jouit en premier, le l’ai senti éjaculer, mon gland a frotté le fond et à trouvé une chaleur supplémentaire. J’ai jouis en même temps que Caro qui criait :
« restez dedans, ne sortez pas tout de suite, je vous garde encore un peu, c’est trop bon. »
Je me cramponnais aux nichons de Caro, ils étaient fermes, chauds, avaient grossis de la jouissance et Michel, lui, se cramponnait aux fesses qu’il s’acharnait à vouloir écarter.
« -tu peux les lâcher, il est bien dedans maintenant, tu peux les lâcher. ».
Du village voisin on pouvait entendre la cloche de l’église féliciter l’exploit de Caro de s’être laisser prendre en DP.
« -même l’église est contente, pourtant les lièvres, eux, ont eu peur tout de même » a dit Michel en rigolant.
-Pourtant j’aurais vraiment cru que j’aurais eu plus mal que ça, vous êtes des champions mes chéris. Mais c’est incroyable cette sensation de bien vous sentir tout en pouvant faire la différence entre celle de devant et celle de derrière. Voilà, je crois qu’on peut se détacher maintenant. En plus j’ai faim.
-Une idée m’est venue alors que nous étions liés et que Caro prenait visiblement son pied :
Comme toutes les femmes Caro, tu as cinq sexes, ta foufoune, ton fripé, ta bouche et tes deux mains et même si nous en avons largement profité avec un énorme plaisir, au final nous n’en avons utilisé que deux. Par contre ta bouche et tes mains étaient inoccupées. Serait il possible de profiter de ces deux sexes aussi ?
-Oui mais pour ça il faudrait trois hommes de plus a répondu Caro. J’y ais pensé, ainsi vous pourriez profiter de toutes mes entrées en même temps. Mais car il y a un grand, grand Mais, avec Jean, Alain et Paul si c’est d’eux auxquels tu penses, j’aurais une entrée qui devra se donner cinq fois. Et sur cinq mecs, combien resterons "délicats" comme vous l’êtes ce soir. Je risque tout de même de prendre cher et ce n’est pas le but, le but serait tout de même que nous soyons tous à prendre notre pied. Fatigués, sûr, mais sans douleurs. Ou alors je réserve mon petit pour seulement pour vous deux. A tant que faire pourquoi pas. Mais il faudra bien mettre les choses au point, discrètement et très pudiquement. Que tout le monde soit au courant et OK.
-Et tu serais d’accord ? On peut les inviter pour la semaine prochaine et pourquoi pas le faire à la maison, dans le jardin. Le coin est tranquille et pas de voisins voyeurs. Tu serais d’accord ?
-Pourquoi pas ! Mais on le fait une seule fois, je ne veux pas devenir votre maîtresse à tous. Michel, toi, je veux bien, mais pas les autres. Oui, je veux bien essayer, vous vous occupés de tout, ce n’est certainement pas moi qui vais leur en parler, surtout que je suis sûre qu’ils seront tous d’accord, je les vois bien me lorgner avec des idées plein les yeux et plein le slip. Alors vous mettez tout cela en marche et on verra bien. Moi je vais rester sage toute la semaine. Je vais me réserver. On en reparle demain. En attendant , j’attends le second plaisir de ce soir.
C’est ainsi qu’il y a eu la deuxième double pénétration, toute aussi réussie et jouissive que la première. Pour le gang bang il faudra patienter.